Exportations de viande de poulet de la Turquie Les exportations du secteur de la viande blanche de la Turquie ont augmenté de 54,2 % en 2021 par rapport à l’année précédente et ont atteint 894 millions de dollars. Le secteur poursuit sa recherche de nouveaux marchés à l’exportation afin d’augmenter la quantité en jeu. Le président de l’Association des fabricants et éleveurs de viande blanche (BESD-BIR) Naci Kaplan a dressé un bilan de l’évolution du secteur de la viande blanche.
Affirmant que 325 millions de tonnes de viande ont été produites dans le monde en 2020, selon le rapport “Perspectives agricoles 2020” de l’Organisation de développement et de coopération économiques et de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, Kaplan a déclaré que 132 millions de tonnes de viande de volaille, qui correspond à 40,6 pour cent de la production totale. Kaplan a déclaré que cette viande est le type de viande le plus consommé au monde.
Notant que la Turquie, qui se classe au 10e rang mondial pour la production de viande blanche, a produit 2,3 millions de tonnes de viande blanche avec une augmentation d’environ 5% par rapport à 2020 l’année dernière, Kaplan a déclaré que 98% de cette quantité est du poulet et 2% de la dinde. viande exprimée.
Kaplan a déclaré que la Turquie se classe au 7e rang du commerce mondial dans ce secteur et a poursuivi comme suit : “Les exportations du secteur de la viande blanche de la Turquie en 2021 ont atteint 632 000 tonnes, en augmentation de 17,3 % par rapport à l’année précédente. Exportations, 2020′ 539 000 tonnes en 2019, 503 mille tonnes en 2019, 506 mille tonnes en 2018 et 441 mille tonnes en 2017. Dans le secteur de la viande blanche, les exportations vers 93 pays ont été réalisées l’année dernière, ce qui a entraîné un rendement en devises de 894 millions de dollars. L’exportation a été réalisée au niveau de 579 millions de dollars en 2020. Afin d’atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés en matière d’exportation en parallèle avec le potentiel du secteur, de nouveaux marchés et certains marchés doivent être développés. Les exportations sont faites vers l’Irak, mais quelle technique. Il n’est pas clair quand cela causera un problème avec justification. Les chiffres d’importation dans le secteur sont inférieurs à 10 % des exportations.
De nouveaux marchés à l’honneur
Kaplan a déclaré qu’ils essayaient de saisir la nouvelle opportunité de marché qui a émergé avec le départ du Royaume-Uni de l’Union européenne, et que ces études prendront beaucoup de temps. Kaplan a déclaré qu’une délégation a été invitée à augmenter le nombre d’entreprises exportant vers les Philippines, “Nous n’avons pas exporté vers l’Inde jusqu’à présent, mais nous pensons que cela peut être un marché important. Nos exportations vers l’Égypte se font également via des pays intermédiaires. Le démarrage des exportations vers le Japon en 2017 est considéré comme le succès du secteur. Bien que nous le décrivions comme une expédition longue distance, il n’est pas possible de parler d’une augmentation du montant des exportations sans le soutien du gouvernement. les exportations vers la Chine ont commencé avec l’autorisation d’une entreprise, mais il y a eu un retard dans la signature du protocole bilatéral en raison de la pandémie et l’amélioration attendue des permis d’autres entreprises ne s’est pas encore produite. Nous nous attendons à des développements positifs dans les prochains jours.
Des réglementations positives sur les exportations sont attendues
Précisant qu’ils s’attendent à une croissance d’environ 12 % dans le secteur en 2022, Kaplan a déclaré que le secteur de la viande blanche en Turquie a atteint les normes mondiales avec des investissements dans les infrastructures technologiques au cours des 30 dernières années et poursuit sa production dans le respect de l’environnement.
Kaplan a déclaré que le secteur turc de la viande blanche, qui réalise un chiffre d’affaires annuel d’environ 5,5 milliards de dollars et contribue à la subsistance d’environ 3 millions de personnes directement et indirectement, rencontre des problèmes similaires avec de nombreux secteurs opérant dans le domaine de l’alimentation, et a noté qu’ils s’attendre à des réglementations positives pour les exportations.
